Photos anciennes de Mordelles : Différence entre versions
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De style néo-classique, l'édifice présente alors un plan rectangulaire simple. Il se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage carré et d'un étage de comble.<br> | De style néo-classique, l'édifice présente alors un plan rectangulaire simple. Il se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage carré et d'un étage de comble.<br> | ||
Il présente une élévation à trois travées régulières de fenêtres et un corps central légèrement en saillie surmonté d'un grand fronton arrondi avec une horloge.<br> | Il présente une élévation à trois travées régulières de fenêtres et un corps central légèrement en saillie surmonté d'un grand fronton arrondi avec une horloge.<br> |
Version du 22 décembre 2020 à 18:22
Ci-dessous, deux autres vues de cette même "avenue de la gare" prises le dos à l'église, en direction de Rennes.
La photo de gauche, datée entre 1932 et 1938, montre la gare avec son décrochement (au fond à droite). Juste avant, toujours à droite, se trouve la menuiserie Lefébure. En avant plan, à gauche, le café Gaignoux-Texier[2] qui accueille les voyageurs à la descente du train avec travaillant en terrasse, Denise Audrain (la mère de Jean Carret).
La photo de droite permet de mieux distinguer, dans le décrochement et à côté des rails qui sont à droite, la gare avec sa halle aux marchandises ainsi que sa pompe à eau qui servait à extraire l'eau du puits pour approvisionner la locomotive à vapeur. Le cimetière se situe à gauche de la route.
L'ancienne gare du tramway à vapeur
La photo ci-dessous montre en gros plan le quai de déchargement des marchandises.
On se situe vers le numéro 57 de l'actuelle avenue du Maréchal Leclerc.
En dehors de la gare, les voies sont uniques. Ne pouvant se croiser, les trains restent en attente dans des voies de garage afin de laisser passer ceux qui arrivent en sens opposé.
La ligne Rennes-Mordelles-Guer est définitivement arrêtée le 31 août 1948. Les rails restent cependant en place dans le bourg de Mordelles, plusieurs années après l'arrêt du train.
La mairie
Conçu d'après les plans de l'architecte rennais Jacques Mellet[3], ami de la famille de Farcy, le bâtiment amorcé en 1853/1854 sera à la fois une maison d'école, une justice de paix et une mairie. Il est achevé en 1862.
De style néo-classique, l'édifice présente alors un plan rectangulaire simple. Il se compose d'un rez-de-chaussée, d'un étage carré et d'un étage de comble.
Il présente une élévation à trois travées régulières de fenêtres et un corps central légèrement en saillie surmonté d'un grand fronton arrondi avec une horloge.
Une extension contemporaine, inaugurée en 2006, agrandit et modernise l'édifice communal actuel.
Ce bâtiment connaît donc autrefois de nombreuses modifications et des affectations très différentes : logement de fonction du secrétaire de mairie, logement de l'aide familiale rurale de la commune, abri du corbillard, local des pompiers, tribunal de justice et école publique primaire pour les garçons.
A partir de 1937 et jusqu'en 1949, les élèves des écoles publiques étant peu nombreux, filles et garçons sont regroupés dans l'école des garçons, soit dans le bâtiment de la mairie.
L'école est installée à droite au rez-de-chaussée tandis que le logement de fonction de l'instituteur est au même niveau mais à gauche.
L'instituteur d'alors, Alexandre Tessier, prend sa retraite en 1949. Les cours se font ensuite et jusque dans le milieu des années 70 dans l'ancienne école des filles, située 38 avenue du Maréchal Leclerc, jusqu'à l'ouverture du groupe scolaire de la Chesnaye.
La mairie ainsi que le bureau du juge de paix sont à l'étage. Suite à l'application d'une loi d'avril 1919 diminuant le nombre global de juges de paix, la fonction de juge de paix est supprimée à Mordelles, Mordelles étant rattaché au canton Nord-Ouest. Ainsi, le juge de paix, Jean-Marie Jan, nommé en novembre 1902 et décédé en novembre 1919, n'a alors pas de successeur à Mordelles.
La fonction justice de paix, quant à elle, subsiste malgré tout et le greffier demeure au chef-lieu de canton, donc à Mordelles.
Lors de la seconde guerre mondiale, les Allemands occupent l'étage et les combles. Pendant toute cette période et jusqu'au début des années 50, la mairie est transférée à Beausoleil, propriété du maire, Robert de Toulouse-Lautrec.
Liste des maires de Mordelles de 1815 à 2020
Période | Identité |
---|---|
1815 à 1830 | Armand de Farcy |
1838 à 1865 | Julien Perret |
1865 à 1874 | François Veillard |
1874 à 1919 | Paul de Farcy |
1919 à 1965 | Robert de Toulouse-Lautrec |
1965 à 1977 | Emile Jeantil |
1977 à 1989 | Guy David |
1989 à 1995 | Guy Aufrère |
1995 à 2014 | Bernard Poirier |
2014 - | Thierry Le Bihan |
Le cœur du bourg
Le cœur du bourg s'articule autour de la place Saint-Pierre et de son église.
L'ancienne église du XVe siècle dédiée à Saint-Pierre-ès-Liens et en forme de croix était jadis située sur la place, devant l'église actuelle.
Malgré une tribune et une nouvelle chapelle construites en 1817 et 1819, l'édifice devint trop petit. Son remplacement fut étudié en 1844.
L'église Saint-Pierre-ès-Liens et son enclos, encore figurés au cadastre de 1829, ont aujourd'hui complètement disparu.
L'église
L'architecte retenu pour élever l'église actuelle est de nouveau Jacques Mellet. Décédé en 1876, ce sont ses fils, Jules et Henri, qui assurent sa relève et mènent à terme le projet.
Construit à côté de l'ancienne église, l'édifice de style néogothique est inauguré le 17 novembre 1861. Celui-ci est alors inachevé pour des raisons financières.
Cependant, grâce à une subvention de l'Etat, Henri Mellet complète le travail de son père et les Mordelais peuvent célèbrer l'achèvement du clocher plus de vingt ans après, soit le 8 juin 1882.
Les matériaux utilisés[4] pour la construction sont : du granite bleu pour les socles, les piles et les colonnes engagées jusqu'à hauteur de chapiteau, de la pierre calcaire de Crazannes pour la flèche, les clochetons, les contreforts au-dessus du premier ressaut, les arcades et tous les décors sculptés, des briques pleines enduites au plâtre pour les voûtes.
Les photos ci-dessous donnent un bon aperçu de sa forme en croix latine, de son clocher-porche ainsi que de sa flèche culminant à environ 55 mètres au-dessus du parvis.
Elle est dotée d'une charpente bois traditionnelle de fermes en chêne à raison d'une ferme par demi-travée pour la nef. Sa couverture est en ardoises minces, elle est posée au crochet sur liteaux. Elle dispose d'un ensemble de vitraux géométriques sur la nef avec personnages historiés. Son beffroi en bois porte 3 cloches respectivement de diamètre 129, 107 et 103 cm, celles-ci sont électrifiées en volée et en tintement.
La place Saint-Pierre
Dès le début du XXe siècle, elle abrite de nombreux commerçants établis principalement du côté de l'actuel bar "Le Saint-Pierre", à l'opposé des rails du tramway.
Selon les années, on y trouve en effet des cordonniers, bouchers, cabaretiers, menuisiers, quincaillers, épiciers, boulangers, bourreliers, etc.
Suite à une pétition des Mordelais craignant que les vibrations n'endommagent le clocher de l'église ainsi que les maisons situées à proximité des rails, un arrêt du tramway est planifié près de l'église. Cet arrêt non prévu initialement permet de réduire la vitesse du tramway lors de sa traversée du bourg.
Mordelles peut également s'enorgueillir de concentrer justice de paix et gendarmerie, le juge de paix officiant dans les locaux de la mairie.
Concernant les gendarmes, au milieu du XIXe siècle et jusqu'en 1872, ils accueillent les Mordelais dans le bâtiment situé à l'entrée de la place Saint-Pierre, près de l'église[5]. Sur la photo de gauche ci-dessus prise plusieurs dizaines d'années après, c'est le bâtiment à la droite du tramway.
Les prisons se situent à l'arrière de ce bâtiment, vers l'actuel cours des Vauquigneux.
En 1872, la brigade de gendarmerie est transférée avenue de Lorient, au domaine de l'Ecu, en face du domaine de la Perruche.
Depuis le clocher de l'église
La plupart de ces photos sont prises depuis le clocher de l'église Saint-Pierre, probablement au début des années 60.
En direction de l'Hermitage
La route qui mène à la commune de l'Hermitage, depuis le nord du bourg, s'appelle avant la seconde guerre mondiale "route de l'Hermitage".
Elle sera rebaptisée "route de la Libération" car c'est elle qu'emprunteront les chars américains pour venir libérer Mordelles le 3 août 1944.
Dans cette rue, tout un ensemble de maisons en pierre ont été construites durant l'entre-deux-guerres. On les doit notamment à Jean David[6], maçon à son compte à Mordelles à compter de 1924.
Ce sont des maisons de bourg en "L" avec rez-de-chaussée, étage carré et étage de comble. Les murs sont en moellons de schiste violet provenant en partie des carrières de Saint-Thurial.
Egalement dans cette rue, on y trouve une fabrique jadis très renommée, installée aujourd'hui sur la commune de l'Hermitage, les ateliers Jeantil, producteurs de machines agricoles.
En direction de Chavagne
Au départ de la place de l'église en direction de Chavagne, se situent d'abord la rue du docteur Dordain[7] et ses fils, puis à la hauteur de la Biardais la route de Chavagne.La maison du docteur Pierre Dordain se dresse derrière l'église juste au début de cet axe conduisant à la commune de Chavagne.
Sur la carte postale ci-contre, on aperçoit cette maison depuis le pont conduisant au moulin de Mordelles (pont en bas de l'allée du Moulin).
Le docteur Pierre Dordain (1894-1943) marque l'histoire de Mordelles.
Il est en effet le chef d'un réseau de résistants appelé "la Confrérie Notre-Dame", sans doute le plus important réseau de renseignement militaire de la Résistance.
En 1943, Pierre Dordain, alias le cerf, est dénoncé, arrêté, puis torturé à mort par la gestapo à la prison Jacques Cartier de Rennes.
Ses deux fils, Jacques et Maurice, également membres d'un réseau de résistance, sont arrêtés à leur domicile le 7 décembre 1943, puis déportés vers le KL de Neuengamme où ils meurent d’épuisement, respectivement le 21 janvier et le 5 mars 1945.
Cette rue porte leur nom en leur mémoire.
A proximité de la maison du docteur Dordain, se dresse également l'hôtel Aux Trois Marchands. L'annuaire officiel d'Ille-et-Vilaine de 1928 mentionne la présence de 3 hôtels à Mordelles : en plus de celui cité précédemment, l'hôtel du Cheval Blanc et l'hôtel Central.
A partir de 1939, les services de la Poste, alors place de l'église, sont transférés au croisement de la rue du docteur Dordain et de celle du Frère Emilien ainsi que le montre la photo ci-dessous.
Ils changeront à nouveau de locaux en 1957 pour s'établir au numéro 3 de l'avenue du Maréchal Leclerc.
Dans les années 1930, la pomme est une richesse pour l'Ille-et-Vilaine et en particulier pour la commune de Mordelles qui regorge de pommiers.
C'est ainsi qu'en 1922, Emmanuel et Yves Savidan, tous deux distillateurs, créent une Société en Nom Collectif pour l'exploitation d'une distillerie de cidre dont le siège social est aux Grands-Vauquigneux.
Les agriculteurs viennent y déverser leurs pommes qui sont transformées en cidre, puis en eau-de-vie.
Dans les années 1930, la Société Coopérative Agricole « les Coteaux du Meu » fait l’acquisition de cette distillerie.
Hervé Vandernoot, originaire de Belgique, est l'un des gérants de cette Société. Sous le pseudonyme Picard, c'est également un résistant qui agit aux côtés de Pierre Dordain. Déporté en avril 1944, il décède le 17 avril 1945 à Mauthausen.
Près du panneau actuel "Chemin de la scierie" et des terrains de football, se trouve au début du XXe siècle une scierie appartenant à Monsieur Besnard lequel, lorsqu'il part en retraite, la cède à la famille Persais.
En 1943, Jean-Louis Persais, alias la Planche en référence à sa scierie, est arrêté par les Allemands. Il décède en déportation le 4 février 1945.
La scierie est reprise par son épouse qui se fait aider par le contremaître Souillard. C'est ce dernier qui apprendra le métier à Robert et Louis Persais, les fils de Jean-Louis Persais.
Cette scierie occupe un espace important au sol puisqu'elle dispose d'un parc de stockage du bois d'environ deux hectares et demi.
Elle fournit, entre autres, Citroën pour la construction de son site de la Janais, sur la commune de Chartres-de-Bretagne, en 1959.
La scierie disparaît à la fin des années 90.
Sortie de Mordelles en direction de Bréal
La photo ci-dessous prise au début du XXe siècle, avant la Grande Guerre, montre le bas de la place Saint-Pierre en direction de Bréal.
Le premier bâtiment à droite[8] est occupé à l'époque par Jean-Louis Leblay, menuisier, et son épouse, Jeanne Bigot, débitante. En 2018, il abrite toujours un bar-tabac.
De l'autre côté de la route, à gauche, on y voit la maison de Placide Robin, l'un des tout premiers facteurs à avoir exercé dans la commune de Mordelles à cette époque.
En amont de sa maison, se trouve le commerce d'Alexandre Salmon, mécanicien et vendeur de cycles et plus bas, toujours à gauche, la boulangerie Souhal tenue par Marie-Joseph Jouault. En 2018, c'est toujours une boulangerie.
La photo ci-dessous date de 1930, elle représente l'arrivée sur Mordelles en venant de Bréal.
Le grand panneau publicitaire "Peugeot" que l'on voit sur le mur de droite fait référence au garage Bigot.
Celui-ci se situe à gauche près du véhicule garé sur le bas côté, on aperçoit l'enseigne "Citroën Agence". C'est Louis Bigot, le père d'Angèle Thézé et de Louis Bigot, qui en est le propriétaire.
La rue des Déportés
La maison de la famille Bigot (lieu de naissance d'Angèle Thézé) se situe au croisement de la rue des Déportés (petite rue à droite de la maison) et de l'avenue de Lorient, en bas de la place Saint-Pierre. Cette bâtisse a une architecture très particulière due à sa forme atypique et à son implantation géographique.
On la visualise mieux sur la vue de droite, prise à une époque antérieure (avant 1930).
La photo ci-dessous, datant des années 60, donne un aperçu de la rue des Déportés dans sa partie située à proximité de la place de l'église. A cet endroit, se trouve aujourd'hui très probablement la maison la plus ancienne de Mordelles.
La dernière maison, en bas sur la gauche, n'existe plus. Les grands-parents de Maurice Costo y ont habité.
Après la seconde guerre mondiale, la route de Cintré est baptisée "rue des déportés" en hommage à tous les agents de renseignement mordelais.
La rue des Déportés se poursuit en direction de la commune de Cintré.
Château Haute-Forêt et Grand Pont
Le château de la Haute-Forêt est situé sur la commune de Bréal-sous-Montfort, à l'entrée sud-ouest de Mordelles, près du Meu et du Grand Pont.
Bâti en 1857, puis agrandi en 1866, on le doit, ainsi que l'église et l'hôtel de ville, à l'architecte rennais Jacques Mellet.
En 1899, en vue de protéger la faune aquatique, se crée l'Union des Pêcheurs à la ligne de Rennes et de la Région.
Emile Carry, fondateur-administrateur du journal l'Ouest-Eclair, propose à cette dernière de lancer "son premier grand concours dans la poissonneuse rivière du Meu" à Mordelles.
C'est ainsi que le 3 août 1899, 12 000 Rennais participent à cet évènement. Cette fête ayant connu un franc succès, elle est le point de départ de nombreuses autres manifestations se déroulant toujours le 1er dimanche du mois d'août et auxquelles le journal Ouest-Eclair apporte régulièrement sa contribution.
Pour développer l'activité de la pêche et en faciliter l'accès aux habitants de Rennes et des environs, l'Union des Pêcheurs, totalisant plus de 800 sociétaires en 1901, obtient de la compagnie des tramways départementaux la création d'un train de pêcheurs, à 5 heures du matin, sur Mordelles, chaque dimanche.
Au fil des années, concours hippiques, courses cyclistes, fêtes foraines et aériennes, entre autres, s'inscrivent au programme du premier dimanche du mois d'août.
La route impériale 27 devenue en 1824 la voie royale 24, plus tard N24 et aujourd'hui D224, conduit depuis le Grand Pont à la place Saint-Pierre en passant devant le domaine de l'Ecu d'une part et celui de la Perruche d'autre part.
Pendant les périodes estivales, elle a fait l'objet de nombreux et fameux bouchons et ce, jusqu'à l'ouverture de la 4 voies Rennes-Lorient en 1986.
Pour revenir aux bâtiments caractéristiques de cette entrée de Mordelles, ainsi qu'indiqué dans le paragraphe concernant la place Saint-Pierre, le domaine de l'Ecu abrite la brigade de gendarmerie de 1872 jusqu'au début des années 1970.
Le domaine de la Perruche, quant à lui, accueille le premier relais de poste fondé en 1596. Une hôtellerie et des écuries permettent également aux courriers utilisant des diligences de s'y reposer et de permuter avec des chevaux plus frais.
En 1900, le relais de poste est transféré place de l'église.
La maison bourgeoise et son pigeonnier d'agrément construit à l'endroit des anciennes écuries marquent toujours l'entrée sud du bourg de Mordelles.
Implantation des différents axes et bâtiments
NB : le nom du bâtiment apparait en cliquant sur le marqueur.
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Sources des photos et des textes
Archives A.M. Nédellec, collection privée, publication 2011 dans le journal municipal : fête des 150 ans de l'église, Gérard Chevrier, Michel David, Mordelles Mag' de mai/juin 2016 : page histoire, kartenn.region-bretagne.fr, gallica.bnf.fr / BnF, bulletin paroissial d'avril 1968, Yves Lecoq (architecte du patrimoine), photos couleurs de R. Birot.
Notes et Références
- ↑ Actuelle avenue du Maréchal Leclerc autrefois baptisée avenue de la gare.
- ↑ Café Gaignoux-Texier : en 2018, le restaurant "Le Kercé-ine".
- ↑ Jacques Mellet : 1807-1876, il était l'architecte des églises et des châteaux.
- ↑ Extrait de l'analyse architecturale présentée par Y. Lecoq, architecte du patrimoine, en janvier 2010.
- ↑ Pour mieux situer ce bâtiment, notez qu'il est occupé en 2018 par l'opticien Optic 2000.
- ↑ Jean David, maçon, est le père de Michel David, lui-même maçon.
- ↑ Le docteur Pierre Dordain a pris la succession du docteur Gateau en décembre 1932. Il assurait les services suivants : médecine générale, accouchement, service dentaire complet.
- ↑ Bâtiment de Jean-Louis Leblay : bar Le bistroquet en 2018.