Toulouse-Lautrec : Différence entre versions
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− | | Nom = | + | | Nom = Ancien maire de Mordelles |
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| nom-image = Robert de Toulouse-Lautrec | | nom-image = Robert de Toulouse-Lautrec | ||
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− | |titre= | + | |titre=Maire de Mordelles de 1919 à 1965 |
|image=[[Fichier:Armoiries-TL.jpg|80px|gauche]] | |image=[[Fichier:Armoiries-TL.jpg|80px|gauche]] | ||
|texte=Ancien maire de Mordelles, conseiller général, fondateur et président de l'aéroclub d'Ille-et-Vilaine, officier de l'armée de l'air, pilote et cavalier émérite.<br> | |texte=Ancien maire de Mordelles, conseiller général, fondateur et président de l'aéroclub d'Ille-et-Vilaine, officier de l'armée de l'air, pilote et cavalier émérite.<br> | ||
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Il assure la fonction de maire de Mordelles pendant plus de 45 ans, de 1919 à 1965, période pendant laquelle la commune se modernise (stade de Coubertin, généralisation de l'électrification, premiers travaux d'assainissement, création du service des eaux, etc).<br> | Il assure la fonction de maire de Mordelles pendant plus de 45 ans, de 1919 à 1965, période pendant laquelle la commune se modernise (stade de Coubertin, généralisation de l'électrification, premiers travaux d'assainissement, création du service des eaux, etc).<br> | ||
Lors des élections cantonales de décembre 1919, il est également élu conseiller général du canton de Mordelles en remplacement de Paul de Farcy, démissionnaire et ce, jusqu'en 1966. <br> | Lors des élections cantonales de décembre 1919, il est également élu conseiller général du canton de Mordelles en remplacement de Paul de Farcy, démissionnaire et ce, jusqu'en 1966. <br> | ||
− | A noter aussi que, pendant la seconde guerre mondiale, il est maintenu maire de Mordelles par le gouvernement de Vichy (1940-1944)<ref>AD35 : 233J14 et 233J15.</ref> représenté par le préfet Ripert. En effet, la loi du 16 novembre 1941 réorganise les conseils municipaux et les conseils généraux : les maires et les conseillers généraux ne sont plus élus mais désignés par le gouvernement sachant, par ailleurs, que la loi du 12 octobre 1940 avait déjà supprimé les conseils généraux des départements. | + | A noter aussi que, pendant la seconde guerre mondiale, il est maintenu maire de Mordelles par le gouvernement de Vichy (1940-1944)<ref>AD35 : 233J14 et 233J15.</ref> représenté par le préfet Ripert. <br> |
− | Robert de Toulouse-Lautrec avait ainsi été nommé par le préfet Ripert, le 3 février 1941, conseiller à la commission administrative du département d’Ille-et-Vilaine. La commission administrative départementale était alors composée de 8 membres désignés, dont 4 anciens conseillers généraux, les 4 étant des maires de commune (Montfort, Mordelles, Vitré, Saint-Senoux).<br> | + | En effet, la loi du 16 novembre 1941 réorganise les conseils municipaux et les conseils généraux : les maires et les conseillers généraux ne sont plus élus mais désignés par le gouvernement sachant, par ailleurs, que la loi du 12 octobre 1940 avait déjà supprimé les conseils généraux des départements.<br> |
+ | Robert de Toulouse-Lautrec avait ainsi été nommé par le préfet Ripert, le 3 février 1941, conseiller à la commission administrative du département d’Ille-et-Vilaine. <br> | ||
+ | La commission administrative départementale était alors composée de 8 membres désignés, dont 4 anciens conseillers généraux, les 4 étant des maires de commune (Montfort, Mordelles, Vitré, Saint-Senoux).<br> | ||
Après la libération, un courrier du 22 décembre 1944 émanant du secrétaire représentant le gouvernement provisoire confirme Robert de Toulouse-Lautrec en tant que maire, Constant Bigot, 1er adjoint, ainsi que les 10 autres conseillers.<br> | Après la libération, un courrier du 22 décembre 1944 émanant du secrétaire représentant le gouvernement provisoire confirme Robert de Toulouse-Lautrec en tant que maire, Constant Bigot, 1er adjoint, ainsi que les 10 autres conseillers.<br> | ||
Les premières élections municipales libres ont lieu les 28 avril et 13 mai 1945.<br> | Les premières élections municipales libres ont lieu les 28 avril et 13 mai 1945.<br> | ||
Deux femmes font partie de ce conseil municipal composé de 15 conseillers, Mlle Yvonne de Farcy et Mme David, née Berthe Bayot. Robert de Toulouse-Lautrec a 2 adjoints, Constant Bigot et Pierre Guille.<br> | Deux femmes font partie de ce conseil municipal composé de 15 conseillers, Mlle Yvonne de Farcy et Mme David, née Berthe Bayot. Robert de Toulouse-Lautrec a 2 adjoints, Constant Bigot et Pierre Guille.<br> | ||
− | En 1952, Robert de Toulouse-Lautrec est vice-président du conseil général d'Ille-et-Vilaine, puis président le 17 juin 1961. Son mandat se terminera en 1966.<br> | + | En 1952, Robert de Toulouse-Lautrec est vice-président du conseil général d'Ille-et-Vilaine, puis président le 17 juin 1961.<br> |
+ | Son mandat se terminera en 1966.<br> | ||
[[Fichier:Photo-LeVot 07.jpg|400px|vignette|centré|Cérémonie de la remise de la cravate de commandeur de la légion d'honneur (30 septembre 1952)]] | [[Fichier:Photo-LeVot 07.jpg|400px|vignette|centré|Cérémonie de la remise de la cravate de commandeur de la légion d'honneur (30 septembre 1952)]] | ||
− | Robert de Toulouse-Lautrec est nommé conseiller du commerce extérieur de la France au titre d’agriculteur et d’éleveur, le 28 janvier 1956. Cela constitue pour lui sa seule fonction nationale, préférant sans nul doute se cantonner à des fonctions électives locales.<br> | + | Robert de Toulouse-Lautrec est nommé conseiller du commerce extérieur de la France au titre d’agriculteur et d’éleveur, le 28 janvier 1956. <br> |
+ | Cela constitue pour lui sa seule fonction nationale, préférant sans nul doute se cantonner à des fonctions électives locales.<br> | ||
Le nouveau conseil municipal de Mordelles lors de son installation le 2 avril 1965, en la personne d’Émile Jeantil, lui décerne le titre de "maire honoraire de la commune de Mordelles".<br> | Le nouveau conseil municipal de Mordelles lors de son installation le 2 avril 1965, en la personne d’Émile Jeantil, lui décerne le titre de "maire honoraire de la commune de Mordelles".<br> | ||
Les aînés mordelais retiennent de lui sa compétence et sa gentillesse, refusant notamment sa prime de maire pour la laisser aux défavorisés.<br> | Les aînés mordelais retiennent de lui sa compétence et sa gentillesse, refusant notamment sa prime de maire pour la laisser aux défavorisés.<br> | ||
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=== Réserviste entre les deux guerres === | === Réserviste entre les deux guerres === | ||
− | Le capitaine de réserve Robert de Toulouse-Lautrec se voit délivrer une attestation, datée du 9 avril 1934 et émanant du Ministère de l’Air, stipulant qu’il est toujours recensé en tant que personnel navigant de la réserve, au grade de capitaine rattaché au centre de mobilisation n°31 (Chartres). | + | Le capitaine de réserve Robert de Toulouse-Lautrec se voit délivrer une attestation, datée du 9 avril 1934 et émanant du Ministère de l’Air, stipulant qu’il est toujours recensé en tant que personnel navigant de la réserve, au grade de capitaine rattaché au centre de mobilisation n°31 (Chartres).<br> |
Le 22 avril de cette même année, il est élevé au grade de commandant, chef de bataillon dans la réserve. <br> | Le 22 avril de cette même année, il est élevé au grade de commandant, chef de bataillon dans la réserve. <br> | ||
Le 4 juillet, il reçoit la croix du combattant volontaire.<br> | Le 4 juillet, il reçoit la croix du combattant volontaire.<br> | ||
=== Mobilisé en 1939 === | === Mobilisé en 1939 === | ||
− | Alors qu’il vient d’être nommé lieutenant-colonel dans la réserve depuis le 1er janvier 1939, au vu de son âge (52 ans), il se trouve exclu du personnel navigant. Mais il obtient par dérogation le droit de voler. Un certificat médical<ref>AD35-233J15 : certificat médical du 26 septembre 1939</ref> d’un médecin de Rennes, le docteur A. Lamache, président de la commission médicale du centre d’aviation de Rennes, le déclare « apte au pilotage » le 26 septembre 1939.<br> | + | Alors qu’il vient d’être nommé lieutenant-colonel dans la réserve depuis le 1er janvier 1939, au vu de son âge (52 ans), il se trouve exclu du personnel navigant. <br> |
+ | Mais il obtient par dérogation le droit de voler. Un certificat médical<ref>AD35-233J15 : certificat médical du 26 septembre 1939</ref> d’un médecin de Rennes, le docteur A. Lamache, président de la commission médicale du centre d’aviation de Rennes, le déclare « apte au pilotage » le 26 septembre 1939.<br> | ||
Dès le 28 août 1939, il avait pris ses fonctions de commandant du Centre d’Instruction et de Renseignement (CIR) de Rennes, sur la base aérienne BA118, de Rennes Saint-Jacques. <br> | Dès le 28 août 1939, il avait pris ses fonctions de commandant du Centre d’Instruction et de Renseignement (CIR) de Rennes, sur la base aérienne BA118, de Rennes Saint-Jacques. <br> | ||
Cette base est alors sous le commandement du général Antoinat<ref>Le général Georges Antoinat (1883-1960). </ref>. Ce dernier étant suspendu suite à une inspection les 23 et 26 janvier 1940, Robert de Toulouse-Lautrec assure le commandement par intérim de la base aérienne de Rennes jusqu’au mois de juin 1940.<br> | Cette base est alors sous le commandement du général Antoinat<ref>Le général Georges Antoinat (1883-1960). </ref>. Ce dernier étant suspendu suite à une inspection les 23 et 26 janvier 1940, Robert de Toulouse-Lautrec assure le commandement par intérim de la base aérienne de Rennes jusqu’au mois de juin 1940.<br> | ||
− | Le 17 juin 1940, il reçoit l’ordre du Général Muiron d’évacuer la base aérienne de Rennes et de se replier sur le Sud de la France. C’est replié avec son unité sur la base temporaire de Pinsaguel (Haute-Garonne) que Robert de Toulouse Lautrec est démobilisé le 16 août 1940.<br> | + | Le 17 juin 1940, il reçoit l’ordre du Général Muiron d’évacuer la base aérienne de Rennes et de se replier sur le Sud de la France. <br> |
+ | C’est replié avec son unité sur la base temporaire de Pinsaguel (Haute-Garonne) que Robert de Toulouse Lautrec est démobilisé le 16 août 1940.<br> | ||
Après la libération, il n’a plus d’activité dans la réserve de l’armée de l’air et ne fait plus partie des cadres de la réserve à compter du 14 juillet 1947.<br> | Après la libération, il n’a plus d’activité dans la réserve de l’armée de l’air et ne fait plus partie des cadres de la réserve à compter du 14 juillet 1947.<br> | ||
[[Fichier:Photo-LeVot 03.jpg|400px|vignette|centré|Le lieutenant-colonel Robert de Toulouse-Lautrec près d'une HOTCHKISS 680 (période de production : 1936 à 1937)]] | [[Fichier:Photo-LeVot 03.jpg|400px|vignette|centré|Le lieutenant-colonel Robert de Toulouse-Lautrec près d'une HOTCHKISS 680 (période de production : 1936 à 1937)]] | ||
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Elle organise plusieurs manifestations afin de vulgariser l’aviation comme la réception grandiose à Rennes de Costes et Bellonte le 14 décembre 1930.<br> | Elle organise plusieurs manifestations afin de vulgariser l’aviation comme la réception grandiose à Rennes de Costes et Bellonte le 14 décembre 1930.<br> | ||
Avec le concours de la chambre de commerce de Rennes, dont il est membre de la commission d’aéronautique depuis 1932, il parraine la mise en place, en mai 1932, d’une école polytechnique à Rennes inaugurée le 12 juillet 1932. Cette école dispense des cours de mécanique avion.<br> | Avec le concours de la chambre de commerce de Rennes, dont il est membre de la commission d’aéronautique depuis 1932, il parraine la mise en place, en mai 1932, d’une école polytechnique à Rennes inaugurée le 12 juillet 1932. Cette école dispense des cours de mécanique avion.<br> | ||
− | Les années 1930 sont les années où sont organisés des meetings aériens dans toute la France. Dans ces mêmes années, chaque ville de grande ou de moyenne importance veut obtenir son aérodrome. Rennes n’échappe pas à cet engouement.<br> | + | Les années 1930 sont les années où sont organisés des meetings aériens dans toute la France. <br> |
− | Le choix du site et l’étude de faisabilité sont confiés à Robert de Toulouse-Lautrec pour son expertise en aéronautique. L’aéroport de Rennes Saint-Jacques est inauguré le 28 juillet 1933 en présence du ministre de l'air, Pierre Cot.<br> | + | Dans ces mêmes années, chaque ville de grande ou de moyenne importance veut obtenir son aérodrome. <br> |
− | Il faut ajouter que Robert de Toulouse-Lautrec est le fondateur de l’aéroclub de Rennes, puis son président de 1932 à 1945. <br> | + | Rennes n’échappe pas à cet engouement.<br> |
− | Il contribue ainsi à l’installation d’une école de vol à voile sur le site de Saint-Jacques-de-la-Lande. | + | Le choix du site et l’étude de faisabilité sont confiés à Robert de Toulouse-Lautrec pour son expertise en aéronautique.<br> |
+ | L’aéroport de Rennes Saint-Jacques est inauguré le 28 juillet 1933 en présence du ministre de l'air, Pierre Cot.<br> | ||
+ | Il faut ajouter que Robert de Toulouse-Lautrec est aussi le fondateur de l’aéroclub de Rennes, puis son président de 1932 à 1945. <br> | ||
+ | Il contribue ainsi à l’installation d’une école de vol à voile sur le site de Saint-Jacques-de-la-Lande.<br> | ||
Il démocratise l’aéronautique en la rendant accessible à un plus grand nombre d’élèves pilote notamment grâce à l’attribution de bourses par la ville de Rennes et le département<ref>LE ROY, Thierry, Les bretons et l’aéronautique des origines à 1939, PUR, Rennes, 2002</ref>.<br> | Il démocratise l’aéronautique en la rendant accessible à un plus grand nombre d’élèves pilote notamment grâce à l’attribution de bourses par la ville de Rennes et le département<ref>LE ROY, Thierry, Les bretons et l’aéronautique des origines à 1939, PUR, Rennes, 2002</ref>.<br> | ||
− | Il obtient sa licence de pilote de tourisme, n°2682, le 10 avril 1934 ( | + | Il obtient sa licence de pilote de tourisme, n°2682, le 10 avril 1934 (cf photo ci-dessous, carnet de vol civil) sachant qu'il est déjà breveté militaire depuis le 30 mai 1915 (Cf photo ci-dessous, carte de pilote militaire).<br> |
Il possède un avion Caudron stationné à l'aérodrome de Rennes. | Il possède un avion Caudron stationné à l'aérodrome de Rennes. | ||
[[Fichier:Photo-LeVot 01.jpg|400px|vignette|centré|L'avion Caudron C275 dit "Luciole", avion de fabrication française des années 1930.]] | [[Fichier:Photo-LeVot 01.jpg|400px|vignette|centré|L'avion Caudron C275 dit "Luciole", avion de fabrication française des années 1930.]] | ||
− | Lors des fêtes d'été organisées à Mordelles, il propose aux Mordelais volontaires | + | Lors des fêtes d'été organisées à Mordelles, il propose aux Mordelais volontaires des baptêmes de l'air. <br> |
A titre de récompense, les meilleurs élèves reçus au certificat d'étude reçoivent un bon qui leur donne droit à un vol au-dessus de la commune.<br> | A titre de récompense, les meilleurs élèves reçus au certificat d'étude reçoivent un bon qui leur donne droit à un vol au-dessus de la commune.<br> | ||
Commandant en second du Cercle Aérien de Rennes, il est promu en 1935 chef de bataillon dans la réserve de l'Armée de l'Air.<br> | Commandant en second du Cercle Aérien de Rennes, il est promu en 1935 chef de bataillon dans la réserve de l'Armée de l'Air.<br> | ||
Si vous souhaitez en savoir plus sur ce prestigieux locataire du '''[[La Haichois|château de la Haichois]]''' mais aussi sur l'énorme travail de recherche historique qu'ont fait Michel Festoc et Daniel Hochet sur l'aérodrome de Rennes Saint-Jacques et sur l'aéro-club de Rennes Ille-et-Vilaine, n'hésitez pas à lire le livre cité en référence. | Si vous souhaitez en savoir plus sur ce prestigieux locataire du '''[[La Haichois|château de la Haichois]]''' mais aussi sur l'énorme travail de recherche historique qu'ont fait Michel Festoc et Daniel Hochet sur l'aérodrome de Rennes Saint-Jacques et sur l'aéro-club de Rennes Ille-et-Vilaine, n'hésitez pas à lire le livre cité en référence. | ||
− | Les traditions ne se perdent pas, plusieurs Mordelais sont pilotes à l'aéro-club qui a changé de nom depuis | + | Les traditions ne se perdent pas, plusieurs Mordelais sont pilotes à l'aéro-club qui a changé de nom depuis. Il s'appelle désormais l'Aéroclub Rennes Ille-et-Vilaine ou ACRIV. |
== Sa période "aviateur" en images == | == Sa période "aviateur" en images == | ||
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Odette de Toulouse Lautrec.jpg|Sa soeur, Odette de Toulouse-Lautrec | Odette de Toulouse Lautrec.jpg|Sa soeur, Odette de Toulouse-Lautrec | ||
Toulouse-Lautrec_05.jpg| Robert en Officier de l'Armée de l'Air | Toulouse-Lautrec_05.jpg| Robert en Officier de l'Armée de l'Air | ||
+ | Cimetiere Mordelles.jpg|Famille des Comtes de Toulouse Lautrec | ||
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== Sources des photos == | == Sources des photos == | ||
− | + | Béatrice de Blignières (famille Toulouse-Lautrec), Daniel Hochet, Michel Festoc, Marie-Hélène Berthelot collection privée, Hervé Le Vot. | |
− | Nous tenons à remercier | + | Nous tenons à remercier particulièrement Hervé Le Vot qui nous a permis d'utiliser le mémoire qu'il a rédigé en janvier 2019 s'appuyant sur les archives départementales d'Ille-et-Vilaine, le service historique de la défense (SHD) à Vincennes, les registres de délibération de Mordelles ainsi qu'une bibliographie. |
== Notes et références == | == Notes et références == |
Version actuelle datée du 2 octobre 2021 à 19:37
- ↑ Odon de Toulouse-Lautrec est le frère d’Alphonse de Toulouse-Lautrec Monfa, le père d’Henri de Toulouse-Lautrec, l’artiste peintre (1864-1901)
- ↑ Histoire d'un aérodrome et de son Aéro-club, 131 pages, Editions du Stamp.
- ↑ AD35 : 233J14 et 233J15.
- ↑ SHD Vincennes : Robert de Toulouse Lautrec, AI 1 P 25133 3, Lieutenant Colonel, (03/02/1887).
- ↑ AD 35-233J15, livret militaire classe 1906
- ↑ AD35- 233J15
- ↑ AD35-233J15 : certificat médical du 26 septembre 1939
- ↑ Le général Georges Antoinat (1883-1960).
- ↑ L’Amicale des aviateurs d’Ille-et-Vilaine, novembre 1930, devînt la Ligue Aéronautique, puis Aéro-club d’Ille-et-Vilaine, le 29 octobre 1932
- ↑ LE ROY, Thierry, Les bretons et l’aéronautique des origines à 1939, PUR, Rennes, 2002