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Paul-Marie-Emile de Farcy : Différence entre versions

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(Fervent défenseur de l'enseignement congréganiste)
(Fervent défenseur de l'enseignement congréganiste)
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Les lois de laïcisation de 1886, appliquées à Mordelles en 1890, ont toutefois pour conséquence la laïcisation de l'école communale. S'ensuit la construction, à la charge des catholiques, d'une nouvelle structure pour l'école libre de garçons<ref>L'abbé Elie Villabon, vicaire de la paroisse, et Charles Esnault, propriétaire au lieu dit La Perruche, sont à l'origine de la construction de nouveaux locaux pour l'école privée afin de garder à Mordelles les Frères chassés de l'école communale désormais laïcisée. </ref> : le 6 octobre 1891, les élèves et leurs enseignants congréganistes font ainsi leur rentrée dans de nouveaux locaux situés dans la rue appelée aujourd'hui rue du Frère Emilien (Cf photo ci-contre)<ref>C'est dans ces nouveaux locaux que l'école libre de garçons a continué à fonctionner jusqu'en avril 1991.</ref>.<br>
 
Les lois de laïcisation de 1886, appliquées à Mordelles en 1890, ont toutefois pour conséquence la laïcisation de l'école communale. S'ensuit la construction, à la charge des catholiques, d'une nouvelle structure pour l'école libre de garçons<ref>L'abbé Elie Villabon, vicaire de la paroisse, et Charles Esnault, propriétaire au lieu dit La Perruche, sont à l'origine de la construction de nouveaux locaux pour l'école privée afin de garder à Mordelles les Frères chassés de l'école communale désormais laïcisée. </ref> : le 6 octobre 1891, les élèves et leurs enseignants congréganistes font ainsi leur rentrée dans de nouveaux locaux situés dans la rue appelée aujourd'hui rue du Frère Emilien (Cf photo ci-contre)<ref>C'est dans ces nouveaux locaux que l'école libre de garçons a continué à fonctionner jusqu'en avril 1991.</ref>.<br>
 
Pour les besoins de la cause, une société civile tontinière est créée, on lui attribue la propriété des nouveaux bâtiments et du mobilier.<br>
 
Pour les besoins de la cause, une société civile tontinière est créée, on lui attribue la propriété des nouveaux bâtiments et du mobilier.<br>
Alors qu'une loi votée en 1905 ordonne la fermeture immédiate et la vente des écoles libres ayant appartenu aux congrégations, Paul de Farcy intervient et accueille, dans son château de la Chesnaie, les frères instituteurs expulsés par la gendarmerie. Bien qu'étant la propriété d'une Société civile, l'école de Mordelles est considérée comme un bien de congrégation et est saisie.<br>
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Alors qu'une loi votée en 1905 ordonne la fermeture immédiate et la vente des écoles libres appartenant aux congrégations, Paul de Farcy intervient et accueille, dans son château de la Chesnaie, les frères instituteurs expulsés par la gendarmerie. Bien qu'étant la propriété d'une Société civile, l'école de Mordelles est considérée comme un bien de congrégation et est saisie.<br>
 
L'école reste toutefois peu de temps fermée car ''Paul de Farcy fait briser les scellés apposés sur la porte et y pénètre, déclarant aux agents de l'autorité qu'il s'y maintiendra envers et contre tout, ne se laissant expulser que par la force. L'école est alors réouverte''<ref>Texte issu du document "historique de l'école chrétienne des garçons de Mordelles" (archives Marie Claire Piel)</ref>.<br>
 
L'école reste toutefois peu de temps fermée car ''Paul de Farcy fait briser les scellés apposés sur la porte et y pénètre, déclarant aux agents de l'autorité qu'il s'y maintiendra envers et contre tout, ne se laissant expulser que par la force. L'école est alors réouverte''<ref>Texte issu du document "historique de l'école chrétienne des garçons de Mordelles" (archives Marie Claire Piel)</ref>.<br>
 
Toutefois en juin 1907, la Cour d'appel de Rennes rend son arrêt et confirme la décision des juges : l'école est fermée une seconde fois et le Frère Emilien de nouveau expulsé.<br>
 
Toutefois en juin 1907, la Cour d'appel de Rennes rend son arrêt et confirme la décision des juges : l'école est fermée une seconde fois et le Frère Emilien de nouveau expulsé.<br>

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Ancien maire de Mordelles
Paul de farcy.jpg
Paul de Farcy
Région Drapeau-breton.jpg Bretagne
Département Armoiries-35.jpg Ille-et-Vilaine
Commune Armoiries-mordelles.jpg Mordelles
Naissance 8 juillet 1839
Décès 29 février 1928
Références
Rédacteur(s) I. Birot
Historien(ne) (nom de l'historien)
Archives Voir "source des photos et textes"




La famille de Farcy
Famille de Farcy

La famille de Farcy s'installe à Mordelles au XVIIe siècle. En 1647, Jacques Annibal de Farcy[1], fils d'Hannibal de Farcy[2], huguenot, procureur fiscal et général des eaux et forêts du Comté de Laval, fait l'acquisition du château de La Villedubois[3]. Il achète également en 1653 avec trois de ses frères les forges de Bressilien et devient ainsi le maître des forges de Brocéliande. Cette tradition se poursuit pendant deux siècles.
Armand Paul Marie Ange, né en 1790, se situe au 20e degré dans la généalogie de la famille de Farcy. Il assure la fonction de maire de Mordelles de 1815 à 1830. Il est à noter qu’outre ses fonctions politiques (également membre du conseil général d’Ille-et-Vilaine), Armand de Farcy est le dernier de sa famille à diriger les forges de Paimpont. Il épouse demoiselle Cécile Julie Marie Hyacinthe Le Corgne de Bonabry. Il a une nombreuse descendance : parmi ses 10 enfants, figure au 7e rang Paul Marie Emile de Farcy, maire de Mordelles de 1874 à 1919.


Le chateau de la Chesnaie

Château de la chesnaie
Croix de mission (1920) à l'entrée du château de la Chesnaie

Paul Marie Emile de Farcy naît au château de La Villedubois en 1839 ; son père en étant le propriétaire de 1829 à 1850.
Au décès de son père en 1850, c'est Louis Marie Auguste, frère de Paul de Farcy qui reprend le domaine et le titre de comte. Paul de Farcy est alors vicomte de Farcy de La Villedubois.
Vers 1860, l'un de ses oncles, Aristide[4], fait construire à Mordelles le château de la Chesnaie. Il utilise les services de l'architecte Jacques Mellet[5], un ami de la famille de Farcy.
Un corps central flanqué de deux tours circulaires, confère à l'édifice un style Renaissance qui le démarque des autres châteaux mordelais.
Aristide n'ayant pas de postérité, à son décès en 1869, il lègue son château à son neveu Paul car ce dernier ne possède pas, à cette époque, de domaine de cette importance. C'est une réelle aubaine pour Paul de Farcy.
Paul de Farcy va ainsi résider au château de la Chesnaie jusqu'en 1928, année de son décès.
C'est ensuite sa fille Jeanne Louise Marie, seule survivante et dernière-née d'une fratrie de 4 enfants, qui hérite du château.
La croix de mission érigée en pierre et représentée sur la photo ci-contre se dresse toujours à l'entrée du château de la Chesnaye.
Datant de 1920, elle est l'une des rares de la commune à porter une date.

Paul de Farcy

Louise Marie de la Rivière.

Paul de Farcy est le fils d'Armand Paul Marie Ange et de Cécile Julie Marie Hyacinthe Le Corgne de Bonabry.

Armes des familles de Farcy et Le Corgne de Bonabry
Ci-contre, une plaque de cheminée en provenance des forges de Paimpont représente les armes de leurs deux familles.

Paul de Farcy est issue d'une famille nombreuse puisqu'il a 9 frères et sœurs, parmi lesquels Louis Marie Auguste, propriétaire du château de La Villedubois de 1850 à 1903 et à l'origine des nombreuses transformations dans cette propriété.
Les deux frères vont épouser deux sœurs ; ainsi, Paul de Farcy épouse le 23 avril 1864 Louise Marie de la Rivière tandis que Louis s'est déjà uni à Marie Aimée de la Rivière.
De son mariage avec Louise (portrait ci-contre) naissent 4 enfants Paul, Cécile, Roger et Jeanne.
Cécile meurt quelques jours après sa naissance tandis que ses deux fils Paul et Roger décèdent également très jeunes, le premier à 20 ans et le second à 30 ans.


Maire de Mordelles de 1874 à 1919

Plusieurs années avant la naissance de Paul de Farcy, Armand, son père, assure lui aussi la fonction de maire à Mordelles et ce, pendant 15 ans, de 1815 à 1830.
En 1873, l'assemblée nationale ayant voté le renouvellement de toutes les municipalités de France, le gouvernement, en vertu de cette loi, procéde à la nomination des maires et des adjoints[6].
Après s'être assuré de leur consentement, en janvier 1874, il désigne comme maire de Mordelles, Paul de Farcy et comme adjoint, Jean-Baptiste Dolivet.

Liste des maires de Mordelles de 1815 à 2020

Période Identité
1815 à 1830 Armand de Farcy
1838 à 1865 Julien Perret
1865 à 1874 François Veillard
1874 à 1919 Paul de Farcy
1919 à 1965 Robert de Toulouse-Lautrec
1965 à 1977 Emile Jeantil
1977 à 1989 Guy David
1989 à 1995 Guy Aufrère
1995 à 2014 Bernard Poirier
2014 - Thierry Le Bihan

A cette époque (fin XIXe, tout début du XXe siècle avant la première guerre mondiale), gérer une commune telle que Mordelles[7] consiste en priorité à venir en soutien aux familles nombreuses, aux enfants pauvres et aux vieillards infirmes et incurables. D'autres sujets tels que le développement des chemins vicinaux, les échanges de terrains, les réparations d'infrastructures sont également récurrents.
En parallèle, des projets plus novateurs émergent : l'assainissement du bourg, la création d'une école publique de filles, l'installation d'un nouveau réseau téléphonique, l'électricité.

Fervent défenseur de l'enseignement congréganiste

Paul de Farcy est connu pour promouvoir l'enseignement congréganiste.
En plus d'une école communale de garçons, deux écoles chrétiennes existent au XIXe siècle à Mordelles : l'école des filles créée en 1857 et l'école des garçons ouverte en 1872 à l'initiative de l'abbé Briand, alors curé de la paroisse.

Ecole libre de garçons, rue du Frère Emilien

En septembre 1874, l'école libre des garçons quitte le grenier à fourrage qu'elle occupe au centre du bourg pour se déplacer dans les locaux de l'école communale alors accolée au bâtiment de la mairie. Paul de Farcy a en effet décidé de confier l'école publique de la commune à un enseignant congréganiste, le Frère Emilien Picard.
Les lois de laïcisation de 1886, appliquées à Mordelles en 1890, ont toutefois pour conséquence la laïcisation de l'école communale. S'ensuit la construction, à la charge des catholiques, d'une nouvelle structure pour l'école libre de garçons[8] : le 6 octobre 1891, les élèves et leurs enseignants congréganistes font ainsi leur rentrée dans de nouveaux locaux situés dans la rue appelée aujourd'hui rue du Frère Emilien (Cf photo ci-contre)[9].
Pour les besoins de la cause, une société civile tontinière est créée, on lui attribue la propriété des nouveaux bâtiments et du mobilier.
Alors qu'une loi votée en 1905 ordonne la fermeture immédiate et la vente des écoles libres appartenant aux congrégations, Paul de Farcy intervient et accueille, dans son château de la Chesnaie, les frères instituteurs expulsés par la gendarmerie. Bien qu'étant la propriété d'une Société civile, l'école de Mordelles est considérée comme un bien de congrégation et est saisie.
L'école reste toutefois peu de temps fermée car Paul de Farcy fait briser les scellés apposés sur la porte et y pénètre, déclarant aux agents de l'autorité qu'il s'y maintiendra envers et contre tout, ne se laissant expulser que par la force. L'école est alors réouverte[10].
Toutefois en juin 1907, la Cour d'appel de Rennes rend son arrêt et confirme la décision des juges : l'école est fermée une seconde fois et le Frère Emilien de nouveau expulsé.
Avec l'appui du député et président du conseil général, M. Brice, Paul de Farcy décide d'acheter les locaux et le mobilier de l'école des garçons, évitant ainsi leur leur liquidation. A partir du 19 novembre 1907, l'école libre des garçons de Mordelles devient ainsi la propriété de Paul de Farcy qui décide un peu plus tard, en 1910, de compléter les bâtiments scolaires en faisant construire une nouvelle classe et des chambres.

A l'origine de la construction d'une école publique de filles

En août 1902, le préfet demande au conseil municipal de Mordelles d'approprier, louer ou construire un local communal pour y établir une école publique de filles[11]
La décision est prise de construire un bâtiment au centre du bourg, en face de la mairie et donc à proximité de l'école communale de garçons. L'étude du projet est confiée à l'architecte, M. Mellet.
Les parcelles de terrain sur lesquelles seront édifiées la classe et la maison d'habitation de l'institutrice (au cadastre, propriétés n°90 et 93) appartiennent à Joseph Ridel et Paul de Farcy.
Entre la décision en 1906 et l'adjudication des travaux au maçon, M. Guiheu, fin 1911, il s'est écoulé plusieurs années et force est de constater une forte augmentation des prix par rapport au devis initial.
Les travaux démarrent tout de même début 1912 avec pour objectif un accueil des élèves à la rentrée de septembre de la même année.
Ce projet place la commune dans une situation financière fort critique.

A l'origine du développement du téléphone et du télégraphe

En 1906, le conseil municipal exprime le vœu que Mordelles soit relié aussitôt que possible avec le réseau téléphonique.
Ce n'est qu'en 1909 que, suite à une circulaire émise à ce sujet par le préfet, le conseil approuve enfin le projet sachant que les frais d'installation seront à la charge de la commune. Il lui faudra fournir un local pour l'installation de la cabine publique et des appareils téléphoniques ; il lui faudra également rémunérer le gérant chargé de la gestion du bureau.

En 1914, on recense que 12 abonnés à Mordelles.
Les numéros sont attribués de la manière suivante :

  • le numéro 1 au docteur Georges Gateau
  • le numéro 2 au notaire Eugène Angot qui réside au domaine de la Perruche.
  • le numéro 3 à Hubert - Baudais, commerçant de grains, pommes et cidre en gros
  • le numéro 4 à Joseph Hubert, marchand de grains
  • le numéro 5 au comte Odon de Toulouse Lautrec du château de la Haichois
  • le numéro 6 au vicomte Henri de Farcy du Château de la Villedubois
  • le numéro 7 au maire Paul de Farcy du château de la Chesnaye
  • le numéro 8 au vicomte du Boberil du château du Molant (Bréal-sous-Montfort)

et le numéro 12 à la caserne de gendarmerie du domaine de l’Ecu.

Le réseau de Mordelles

Impliqué dans le patrimoine

On lui doit essentiellement le style de l'église actuelle.

L’église de Mordelles

Dès 1776, l'ancienne église Saint-Pierre-es-Liens de style roman est jugée trop petite, n'ayant pas la capacité suffisante pour accueillir l'ensemble des fidèles désireux d'assister aux cérémonies religieuses.
Malgré l'ajout d'une tribune et d'une chapelle respectivement en 1817 et 1819, le besoin d'un édifice plus grand se fait toujours ressentir.

Blason famille de Farcy
En 1844, le projet de construction de l'église actuelle est à l'étude. Il est donc antérieur au mandat de Paul de Farcy sachant qu'il faudra encore 12 années de débats et de montage financiers pour que l'adjudication des travaux se fasse le 18 mars 1856.

C'est l'architecte Jacques Mellet, proche de Paul de Farcy, qui se voit chargé des plans et qui va donner à l'église actuelle ce style néogothique très rare pour l'époque.
En effet, le choix du néogothique, qui contraste avec les styles classiques dominants de l'époque en Ille-et-Vilaine, est la caractéristique de l’œuvre religieuse de Jacques Mellet.
La construction de l'édifice se déroule en deux phases d'abord avec Jacques Mellet qui inaugure l'édifice partiellement achevé le 17 novembre 1861, puis avec Henri, son fils cadet qui, à partir de 1877, achève l'œuvre de son père en réalisant la tour du clocher ainsi que la flèche le 8 juin 1882.
Le retable de la Vierge est une œuvre du sculpteur rennais Jean Julien Hérault[12], datant de 1862-1863.
Il est à observer de plus près car on y distingue le blason de la famille de Farcy d'or fretté d'azur de six pièces, au chef de gueules, rappelant ainsi les liens étroits qui unissent l’architecte Jacques Mellet à Paul de Farcy.

Le monument aux morts

Avant même la signature de l'Armistice, dès le 20 octobre 1918, Paul de Farcy propose d'ériger un monument aux morts.
Il faut souligner que la volonté de construire un monument aux morts dans chaque commune, après la Grande Guerre, est une spécificité française. De ce fait, la France compte près de 36 000 monuments aux morts.
Pour édifier ce monument public, les communes ont toutefois l'obligation de respecter la loi de séparation des Églises et de l’État votée en 1905.
Le 16 juin 1921 sous la mandature de Robert de Toulouse-Lautrec, la commission municipale en charge de l’étude du projet « plutôt que d’adopter le type courant de pyramide, colonne ou stèle, qu’on retrouve dans la plupart des communes, a fixé son choix sur « un Poilu en pied », symbolisant la résistance, d’une hauteur de 2,10 mètres et qui sera réalisé en fonte de fer bronzée.

Garde général des eaux et forêts

Il assure cette fonction à Fougères.

Conseiller général d'Ille-et-Vilaine

Paul de Farcy est conseiller général du canton de Mordelles de 1877 à 1919, année de sa démission.
Lors des élections cantonales de décembre 1919, c'est Robert de Toulouse-Lautrec qui est élu à ce poste.

Décédé au château de la Chesnaye le 29 février 1928 dans sa 89e année.


Photos diverses

Source des photos et textes

Revue d'informations municipales (novembre 2014) et supplément à la revue Mordelles-Infos n°340 de mai 2011, site internet chateaudelavilledubois.com, Source gallica.bnf.fr/BnF (ressources généalogiques), site inventaire-patrimoine.region-bretagne.fr, archives de la ville de Mordelles (relevé des délibérations du conseil), archives Anne-Marie Nédellec (collection privée), archives Marie Claire Piel, R. Birot (photos en couleur).

Notes et références

  1. Jacques Annibal de Farcy est né vers 1605. C'est l'un des 11 enfants d'Annibal de Farcy. Il a épousé Catherine de Gennes. Il est décédé en 1682.
  2. Annibal de Farcy est né en 1575 et décédé en 1650. Il a épousé Guyonne de Launay et a eu 11 enfants.
  3. Extrait du site internet chateaudelavilledubois.com. Château de La Villedubois, maison d'hôtes.
  4. Aristide Anne Marie Félix de Farcy de la Chesnaie (1795-1869).
  5. Jacques Mellet (1807-1876) à l'origine de la construction de près d'une vingtaine d'églises.
  6. Texte issu du document "historique de l'école chrétienne des garçons de Mordelles" (archives Marie Claire Piel).
  7. En 1915, la commune de Mordelles compte environ 2100 habitants.
  8. L'abbé Elie Villabon, vicaire de la paroisse, et Charles Esnault, propriétaire au lieu dit La Perruche, sont à l'origine de la construction de nouveaux locaux pour l'école privée afin de garder à Mordelles les Frères chassés de l'école communale désormais laïcisée.
  9. C'est dans ces nouveaux locaux que l'école libre de garçons a continué à fonctionner jusqu'en avril 1991.
  10. Texte issu du document "historique de l'école chrétienne des garçons de Mordelles" (archives Marie Claire Piel)
  11. Source : archives de la ville de Mordelles, relevé des délibérations du conseil.
  12. Jean Julien Hérault, sculpteur (1814-1888).